A Distant Drum: The War of 1812 in Missisquoi County
Upper Canada felt the sting in the opening days of the War of 1812. But for many residents of Lower Canada life continued as usual.
Upper Canada felt the sting in the opening days of the War of 1812. But for many residents of Lower Canada life continued as usual.
In the lovely windswept high places of early 19th century Dunham, among old-growth forests and newly ploughed fields, where the earliest beginnings of tender apple shoots were beginning to take root, a sinister and corrupt enterprise thrived and threatened to destroy the placidity of the newly settled pastoral community.
(Suite de : Les Rébellions, première partie : contexte politique)
Après le premier éclatement des insurrections, plusieurs des leaders du parti Patriote furent arrêtés, d'autres, comme Papineau, s'enfuirent aux États-Unis. Le nouveau gouverneur, Lord Durham, accorda une amnistie, mais la situation ne fut pas enrayée pour autant. Et Durham ne reçut pas non plus l'appui du gouvernement britannique.
La contrebande existe dans les Cantons-de-l'Est depuis très longtemps. Au début, il n'y avait aucun poste de douanes. Les gens pouvaient acheter tout ce qu'ils voulaient aux États-Unis et le ramener de ce côté-ci de la frontière. On ne posait pas de questions! En 1821, le gouvernement établit un poste de frontière à Stanstead.
Au début du 19e siècle, il n'existait ni policier ni cour ni prison dans les Cantons-de-l'Est. La région représentait une lointaine frontière, loin des villes du Bas-Canada. En principe, la loi était appliquée par des magistrats à temps partiel, qui demeuraient dans des hameaux dispersés. Lors d'urgences, les magistrats étaient assistés par la milice locale.