Articles
--le 17 juillet 2022.
L’histoire du township de Rawdon à son commencement raconte les circonstances historiques ayant menées à la révolte des Patriotes Canadiens en 1837-1838. Dans les 92 résolutions présentées par les Patriotes beaucoup concernaient l’ouverture de nouvelles terres à la colonisation dans les cantons ou townships puisque la vallée du St-Laurent devenait surpeuplée.
Les premiers lots attribués
Préservé par le temps et peu à peu recouvert par la végétation un village fantôme se cache dans la forêt de Chertsey. C’est une richesse archéologique car dans les autres villages de cette époque de la colonisation (1850) quand le centre du village s’est développé toutes les traces anciennes ont disparu.
La région de Chertsey située dans les premières montagnes des Laurentides a été colonisée au début du XIXème siècle au fur et à mesure que les basses terres de la plaine du Saint-Laurent devenaient trop peuplées.
Quand nous étions petits mais que nous habitions toujours à Montréal, ma mère [Mary Ann Swift Wickham] nous emmenait à St-Lambert l’été quand nous étions malades. Elle prenait une chambre dans une auberge au bord du fleuve tenue par les Irving et connue sous le nom d’Hôtel Irving. C’était un relais routier à cette époque, où les fermiers qui s’en allaient au marché de la ville par le traversier ou le pont de glace s’arrêtaient pour se reposer. L’air de St-Lambert avait la réputation de guérir le « mal d’été », une diarrhée responsable d’un haut taux de mortalité infantile à cette époque.
--le 2 mai 2016.
*Tamara Guillemette est étudiante en histoire à l’Université de Sherbrooke. En stage au RPAQ durant l’année 2016, elle produira une série d’articles sur la villégiature dans les villages anglophones du Québec qui sera mise en ligne dans les magazines électroniques du RPAQ. L’article qui suit est le cinquième de la série.
--le 2 mai 2016.
*Tamara Guillemette est étudiante en histoire à l’Université de Sherbrooke. En stage au RPAQ durant l’année 2016, elle produira une série d’articles sur la villégiature dans les villages anglophones du Québec qui sera mise en ligne dans les magazines électroniques du RPAQ. L’article qui suit est le quatrième de la série.
--le 23 mars 2016.
*Tamara Guillemette est étudiante en histoire à l’Université de Sherbrooke. En stage au RPAQ durant l’année 2016, elle produira une série d’articles sur la villégiature dans les villages anglophones du Québec qui sera mise en ligne dans les magazines électroniques du RPAQ. L’article qui suit est le troisième de la série.
--le 1 mars 2016.
*Tamara Guillemette est étudiante en histoire à l’Université de Sherbrooke. En stage au RPAQ durant l’année 2016, elle produira une série d’articles sur la villégiature dans les villages anglophones du Québec qui sera mise en ligne dans les magazines électroniques du RPAQ. L’article qui suit est le deuxième de la série.
--le 22 février 2016.
*Tamara Guillemette est étudiante en histoire à l’Université de Sherbrooke. En stage au RPAQ durant l’année 2016, elle produira une série d’articles sur la villégiature dans les villages anglophones du Québec qui sera mise en ligne dans les magazines électroniques du RPAQ. L’article qui suit est le premier de la série.
--le 7 janvier 2016.
La section Faits divers du Progrès de l'Est, journal publié à Sherbrooke entre 1883 et 1924, permet de retracer nombre de petites histoires hors de l'ordinaire qui se sont déroulées dans les Cantons-de-l'Est. Parmi ces histoires, il y a plusieurs décès accidentels. Le Progrès de l'Est du 7 janvier 1891 nous présente un de ces décès tragiques.
Ville d'histoire et de culture...
Gaspé est un mot d'origine micmac (Gespeg) qui signifie le bout de la terre. Plus de 15 000 personnes y résident. Son territoire grandiose s'étend sur 1 440 km² et longe 130 km de littoral.
Gaspé a été découvert en 1534 par l'explorateur français Jacques Cartier. Ce dernier y a planté une croix en signe de prise de possession par le roi de France. Ce geste vaut d'ailleurs à Gaspé le titre de berceau du Canada.
Gaspé possède une culture riche et diversifiée. Le tiers de sa population est bilingue.
Pendant toute la période de colonisation, sous les Régimes français et britannique, tout projet de développement dépendait de la construction de moulins permettant de moudre le grain pour l’alimentation et de produire des planches pour l’habitation et les activités agricoles. Le 28 octobre dernier, c’est ce qu’ont présenté, à Bolton-Est, deux des plus grands spécialistes des moulins au Québec, les archéologues Hélène Buteau et Daniel Chevrier. Cette présentation était la dernière conférence organisée en 2012, l’église Holy Trinity, par l’association Patrimoine BOLTON Heritage.
Edouard Maheu maire de Paquetteville et son épouse Emilia Labbé. Tous deux natifs de Saint-Joseph de Beauce, ils arrivent à Paquetteville en 1950.
Ce petit village des Cantons de l’est, situé près de la frontière Américaine, allait devenir un endroit de prédilection pour élever une famille de 16 enfants.
Le Musée Redpath, l'un des plus anciens établissements muséaux du Canada, conçu expressément pour recevoir et exposer les précieuses collections de l'éminent naturaliste Sir William Dawson, a été inauguré en 1882.
La colonne que l’on aperçoit sur la droite, nommée Boaz, s’élève à l’extérieur de l’entrée principale du temple maçonnique de Montréal, siège de la Grande Loge du Québec. À son sommet se retrouve le globe terrestre. À gauche de Boaz, de l’autre côté de l’entrée se retrouve Jakin, une colonne surmontée d’un globe céleste.
Fondée à Charleston (le village de Hatley) en 1835, par un groupe d'hommes d'affaires Sherbrookois, incluant Samuel Brooks, C. F. H. Goodhue, Otis King, et autres, la Stanstead and Sherbrooke Fire Insurance Company opérera pendant plus d’un siècle et demi, et est l’une des compagnies qui restera le plus longtemps en activité dans les Cantons-de-l’Est.
Les autoneiges (taxis et autobus scolaire) qui circulaient dans les rues du village et aux alentours de Morin-Heights dans les années 1940 et 1950 "étaient les véhicules les plus bizarres," de dire Sandra Stock.
Au cimetière Elmwood de Sherbrooke (fondé en 1890), un monument funéraire a attiré mon attention. Sur une de ses faces, il est écrit:
Thomas Davis
Sommersetshire England
Died February 26 1884
Age 26 years
from the effects of injuries recd [received]
on the [head while] on duty
On considère Herman Smith-Johannsen comme le plus grand pionner de ski au monde. Né en Norvège en 1875, diplômé en génie mécanique, il étudiera en Norvège et en Allemagne. Jeune homme, sa carrière l’emmènera aux États-Unis.
Pagination
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
- 6
- 7
- 8
- 9
- …
- Page suivante
- Dernière page