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Couvents
À la fin du XIXème siècle, contrairement à celles des protestants anglophones, les écoles francophones catholiques sont de plus en plus prises en main par les ordres religieux.
Université Bishop's
L'Université Bishop's à Lennoxville fut fondée en 1845 sous l'égide de l'évêque anglican de Québec, George Jehoshaphat Mountain. Enregistré pour décerner des diplômes en 1853, dans ses premières années, l'établissement offrait surtout un enseignement classique et la formation du clergé anglican.
Inverness : niché au creux des Appalaches, la rencontre de deux cultures
Situé sur le premier plateau des Appalaches, le village d’Inverness se démarque par ses paysages vallonnés et ses routes en serpentins qui s’enfoncent dans la vallée pour remonter sur les collines verdoyantes, offrant une vue majestueuse sur les terres, les pâturages, les ruisseaux et les forêts.
Cowansville au début
Les grandes étapes du développement de Cowansville :
Marbleton (Dudswell) : rendez-vous multiculturel autour du Lac d’Argent
Situé au pied des Appalaches, le canton de Dudswell reçut sa première famille vers 1800, dans le secteur de Bishopton. Mais ce n’est que vers 1824 que le secteur de Marbleton, niché autour d’un petit lac dans une vallée verdoyante, prit son essor avec l’exploitation d’un gisement de calcaire (encore en opération) qui incita une communauté francophone à s’y installer. On y exploita aussi un gisement de marbre, qui a inspiré son nom.
Knowlton : un village victorien animé sur les rives du lac Brome
À une centaine de kilomètres au sud-est de Montréal, au bord d’un magnifique lac de cinq kilomètres de diamètre, Knowlton est un village fleuri et ombragé très animé, particulièrement l’été et les fins de semaine.
Kinnear's Mills
Toute excursion dans le secteur nord-est des Cantons-de-l'Est, la région des Hautes-Appalaches, se trouverait incomplète sans une visite à Kinnear's Mills. Hors des grandes routes, à environ 20 km au nord-est de Thetford Mines, ce hameau est situé au cœur des collines dans la vallée de la rivière Osgood.
Écoles rurales dans les Cantons-de-l'Est
Il fut un temps où les Cantons-de-l'Est étaient parsemés d'écoles rurales. Sur les anciennes cartes de la région, on pouvait facilement remarquer que chaque hameau possédait son école.
La petite histoire des Way, Partie 15
La longévité à Way’s Mills est certes remarquable mais les années passent, les pionniers avancent en âge et certains d’entre eux ont disparu. Ainsi, l’un de nos premiers fermiers, Jacob Clifford, contemporain de Daniel Way, décède en 1871. La mort fauche aussi de jeunes résidents.
La petite histoire des Way, Partie 14
Le 26 décembre 1871, Daniel Way, accompagné de son épouse Keziah, passe devant notaire et vend à son fils Lorenzo la quasi-totalité de sa terre aux abords de la Niger, y inclus la demeure familiale, pour mille deux cent dollars.
La petite histoire des Way, Partie 13
Ayant salué les familles Hollister et Truell, revenons à Way’s Mills vers 1860. Une route de poste de Barnston à Way’s Mills est établie le 1 er juillet 1863. Ebenezer Southmayd père, voisin des Way, est le premier maître de poste du village.
La petite histoire des Way, Partie 12
L’un des premiers colons de Way’s Mills, Harry Hollister, détenait une centaine d’acres dans le 5 ième Rang et opérait des moulins à moudre et à scie sur la rivière Niger. Il meurt en 1857 (voir parties 8, 10 et 11). L’année suivante, sa veuve Mary Ann Yemans, vend la ferme et les moulins à Valorous Truell, pour 100$, à condition que: (voici la traduction de l’extrait de l’acte de vente)
La petite histoire des Way, Partie 11
Au début des années 1850, les résidents de la région de Coaticook, dont ceux de Barnston, font compétition à Stanstead pour le tracé projeté du chemin de fer provenant de Portland, Maine. Daniel Way et Harry Hollister sont actionnaires de la St. Lawrence and Atlantic Railroad, (2 actions chacun !) qui choisira la vallée de la Coaticook.
La petite histoire des Way, Partie 10
Daniel Way exploite son moulin à laine aux abords du pont enjambant la Niger à l’entrée du hameau. À l’autre extrémité, (près du pont au pied du Chemin Madore), habite Harry Hollister. Il y opère un moulin à moudre et un moulin à scie depuis plusieurs années.
La petite histoire des Way, Partie 9
1849…La grogne se fait sentir dans le canton de Stanstead. Les citoyens sont mécontents d’une économie stagnante et de l’apparente réticence du gouvernement de la Colonie du Canada d’apporter les changements requis pour permettre la croissance.
La petite histoire des Way, Partie 8
Les eaux de la Niger ont attiré les défricheurs dans la région dès 1796, bien avant que Daniel et Lorenzo Way ne s’y installent. À la fin des années 1830, plusieurs familles étaient déjà établies dans les environs.
La petite histoire des Way, Partie 7
En septembre 1843, Daniel Way et les membres de sa famille s’établissent dans un hameau qui ne porte pas encore leur nom. L’aîné des fils, Lorenzo Sweedenburg Way, est alors un jeune homme de 27 ans qui a épousé Julia Ann Hodge le 6 septembre 1838.
La petite histoire des Way, Partie 6
1819 : Daniel et Keziah Way et leur fils aîné Lorenzo vivent maintenant sur le Lot 9, 7 ième Rang du Canton de Stanstead, entre le Chemin Griffin et Smith’s Hollow, près de la rivière Tomifobia.
La petite histoire des Way, Partie 5
Qui donc attendait Daniel Way et sa jeune famille au Canada après 1816 ? Vous rappelez-vous des Gustin, des Mack et des Miller de Marlow, N.H., mariés à Esther, Ethelinda et Sally Way, les tantes de Daniel? Dans son livre «The history of Stanstead County», B.F.