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Bottes de travail pour dame, vers 1890.

« On devrait mettre autant  de conscience dans l'époussetage que dans la gérance d'une propriété » Godey's Lady's Book, 1870 (traduction)

Une journée par semaine était consacrée à l'entretien ménager et plusieurs femmes suivaient à la lettre les instructions données dans les journaux et les livres de bienséance au foyer.  Le mobilier était couvert de draps et les fenêtres grandes ouvertes pour bien voir la saleté dissimulée.  Les tabl
Bottes de travail pour dame, vers 1890.

« On devrait mettre autant de conscience dans l'époussetage que dans la gérance d'une propriété » Godey's Lady's Book, 1870 (traduction)

Une journée par semaine était consacrée à l'entretien ménager et plusieurs femmes suivaient à la lettre les instructions données dans les journaux et les livres de bienséance au foyer. Le mobilier était couvert de draps et les fenêtres grandes ouvertes pour bien voir la saleté dissimulée. Les tableaux, les miroirs, les meubles ainsi que les rideaux étaient époussetés avec des chiffons de plumes. Les tapis étaient soit balayés ou lavés à l'éponge et les carpettes étendues et battues à l'extérieur. Les fenêtres, les vérandas et les planchers étaient lavés à toutes les semaines; la literie et les housses de plumes aérées; les lampes à l'huile nettoyées et remplies; et le cuivre, la verrerie et l'argenterie étaient polis.
(Collections de la Société d'histoire de Missis