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Le township de Rawdon 1795-1850
--le 17 juillet 2022. L’histoire du township de Rawdon à son commencement raconte les circonstances historiques ayant menées à la révolte des Patriotes Canadiens en 1837-1838. Dans les 92 résolutions présentées par les Patriotes beaucoup concernaient l’ouverture de nouvelles terres à la colonisation dans les cantons ou townships puisque la vallée du St-Laurent devenait surpeuplée. Les premiers lots attribués
Le village fantôme de Chertsey
Préservé par le temps et peu à peu recouvert par la végétation un village fantôme se cache dans la forêt de Chertsey. C’est une richesse archéologique car dans les autres villages de cette époque de la colonisation (1850) quand le centre du village s’est développé toutes les traces anciennes ont disparu.
Histoire de Chertsey: fondation
La région de Chertsey située dans les premières montagnes des Laurentides a été colonisée au début du XIXème siècle au fur et à mesure que les basses terres de la plaine du Saint-Laurent devenaient trop peuplées.
Les débuts de Saint-Lambert : Récit tiré des mémoires de Daisy Wickham (1881-1980)
Quand nous étions petits mais que nous habitions toujours à Montréal, ma mère [Mary Ann Swift Wickham] nous emmenait à St-Lambert l’été quand nous étions malades. Elle prenait une chambre dans une auberge au bord du fleuve tenue par les Irving et connue sous le nom d’Hôtel Irving. C’était un relais routier à cette époque, où les fermiers qui s’en allaient au marché de la ville par le traversier ou le pont de glace s’arrêtaient pour se reposer. L’air de St-Lambert avait la réputation de guérir le « mal d’été », une diarrhée responsable d’un haut taux de mortalité infantile à cette époque.
La villégiature anglophone au Québec : Métis-sur-Mer
--le 2 mai 2016. *Tamara Guillemette est étudiante en histoire à l’Université de Sherbrooke. En stage au RPAQ durant l’année 2016, elle produira une série d’articles sur la villégiature dans les villages anglophones du Québec qui sera mise en ligne dans les magazines électroniques du RPAQ. L’article qui suit est le cinquième de la série.
La villégiature anglophone au Québec : Montebello
--le 2 mai 2016. *Tamara Guillemette est étudiante en histoire à l’Université de Sherbrooke. En stage au RPAQ durant l’année 2016, elle produira une série d’articles sur la villégiature dans les villages anglophones du Québec qui sera mise en ligne dans les magazines électroniques du RPAQ. L’article qui suit est le quatrième de la série.
La villégiature anglophone au Québec : Cacouna
--le 23 mars 2016. *Tamara Guillemette est étudiante en histoire à l’Université de Sherbrooke. En stage au RPAQ durant l’année 2016, elle produira une série d’articles sur la villégiature dans les villages anglophones du Québec qui sera mise en ligne dans les magazines électroniques du RPAQ. L’article qui suit est le troisième de la série.
La villégiature anglophone au Québec : La Malbaie (Murray Bay)
--le 1 mars 2016. *Tamara Guillemette est étudiante en histoire à l’Université de Sherbrooke. En stage au RPAQ durant l’année 2016, elle produira une série d’articles sur la villégiature dans les villages anglophones du Québec qui sera mise en ligne dans les magazines électroniques du RPAQ. L’article qui suit est le deuxième de la série.
La villégiature anglophone au Québec : North Hatley
--le 22 février 2016. *Tamara Guillemette est étudiante en histoire à l’Université de Sherbrooke. En stage au RPAQ durant l’année 2016, elle produira une série d’articles sur la villégiature dans les villages anglophones du Québec qui sera mise en ligne dans les magazines électroniques du RPAQ. L’article qui suit est le premier de la série.
Un empoisonnement accidentel (Windsor, 1891)
--le 7 janvier 2016. La section Faits divers du Progrès de l'Est, journal publié à Sherbrooke entre 1883 et 1924, permet de retracer nombre de petites histoires hors de l'ordinaire qui se sont déroulées dans les Cantons-de-l'Est. Parmi ces histoires, il y a plusieurs décès accidentels. Le Progrès de l'Est du 7 janvier 1891 nous présente un de ces décès tragiques.
La ville de Gaspé : son histoire
Ville d'histoire et de culture... Gaspé est un mot d'origine micmac (Gespeg) qui signifie le bout de la terre. Plus de 15 000 personnes y résident. Son territoire grandiose s'étend sur 1 440 km² et longe 130 km de littoral. Gaspé a été découvert en 1534 par l'explorateur français Jacques Cartier. Ce dernier y a planté une croix en signe de prise de possession par le roi de France. Ce geste vaut d'ailleurs à Gaspé le titre de berceau du Canada. Gaspé possède une culture riche et diversifiée. Le tiers de sa population est bilingue.
Les moulins et le développement de Bolton et des Cantons
Pendant toute la période de colonisation, sous les Régimes français et britannique, tout projet de développement dépendait de la construction de moulins permettant de moudre le grain pour l’alimentation et de produire des planches pour l’habitation et les activités agricoles. Le 28 octobre dernier, c’est ce qu’ont présenté, à Bolton-Est, deux des plus grands spécialistes des moulins au Québec, les archéologues Hélène Buteau et Daniel Chevrier. Cette présentation était la dernière conférence organisée en 2012, l’église Holy Trinity, par l’association Patrimoine BOLTON Heritage.
Mémoires de Saint Venant de Paquetteville
Edouard Maheu maire de Paquetteville et son épouse Emilia Labbé. Tous deux natifs de Saint-Joseph de Beauce, ils arrivent à Paquetteville en 1950. Ce petit village des Cantons de l’est, situé près de la frontière Américaine, allait devenir un endroit de prédilection pour élever une famille de 16 enfants.
Musée Redpath, Université McGill
Le Musée Redpath, l'un des plus anciens établissements muséaux du Canada, conçu expressément pour recevoir et exposer les précieuses collections de l'éminent naturaliste Sir William Dawson, a été inauguré en 1882.
Le temple maçonnique de Montréal
La colonne que l’on aperçoit sur la droite, nommée Boaz, s’élève à l’extérieur de l’entrée principale du temple maçonnique de Montréal, siège de la Grande Loge du Québec. À son sommet se retrouve le globe terrestre. À gauche de Boaz, de l’autre côté de l’entrée se retrouve Jakin, une colonne surmontée d’un globe céleste.
La Stanstead and Sherbrooke Fire Insurance Company
Fondée à Charleston (le village de Hatley) en 1835, par un groupe d'hommes d'affaires Sherbrookois, incluant Samuel Brooks, C. F. H. Goodhue, Otis King, et autres, la Stanstead and Sherbrooke Fire Insurance Company opérera pendant plus d’un siècle et demi, et est l’une des compagnies qui restera le plus longtemps en activité dans les Cantons-de-l’Est.
L'autoneige : le véhicule le plus étrange
Les autoneiges (taxis et autobus scolaire) qui circulaient dans les rues du village et aux alentours de Morin-Heights dans les années 1940 et 1950 "étaient les véhicules les plus bizarres," de dire Sandra Stock.
Une chute fatale à Sherbrooke (1884)
Au cimetière Elmwood de Sherbrooke (fondé en 1890), un monument funéraire a attiré mon attention. Sur une de ses faces, il est écrit: Thomas Davis Sommersetshire England Died February 26 1884 Age 26 years from the effects of injuries recd [received] on the [head while] on duty
Canaux militaires de la rivière des Outaouais
Trois canaux, Carillon, Chute-à-Blondeau et Grenville furent construits sur la rive nord de la rivière des Outaouais entre 1829 et 1833. Contournant les bouillonnants rapides du Long-Sault hauts de 21 km (13 miles), leur conception date des années suivant la Guerre de 1812. À cette époque, on considérait le Saint-Laurent vulnérable et il pouvait devenir la cible d’attaquants venus des États-Unis. Les canaux sur la rivière des Outaouais allaient offrir une voie navigable en direction de Kingston, alternative à celle du fleuve.